Paris Zoological Park Zoo de Vincennes Paris News

Birth of 3 fossa (Cryptoprocta ferox).
Parc zoologique de Paris on Instagram: " Naissance exceptionnelle au Parc zoologique de Paris ! Le 8 mai 2025, trois adorables fossas (Cryptoprocta ferox), plus grands carnivores de l’île de Madagascar, ont vu le jour au Parc zoologique de Paris. Âgés de deux mois, les petits pèsent déjà plus de 700 grammes et se développent bien sous la vigilance des soigneurs et vétérinaires. Ce n’est que depuis quelques jours qu’ils ont commencé à sortir dans leur espace extérieur ! Mais pourquoi cette naissance est-elle si exceptionnelle ? Il faut savoir que moins de 70 fossas sont présents dans les parcs zoologiques européens et seuls deux autres établissements dans le monde ont enregistré une portée en 2025. La raison ? Une reproduction délicate puisque les femelles ne sont réceptives aux mâles... qu’une semaine par an ! Classée vulnérable par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), cette espèce est malheureusement menacée par la destruction de son habitat et la prolifération d’espèces introduites comme les chiens, les chats ou certains rongeurs. Dans leur lutte contre ces animaux envahissants, les éleveurs locaux ont aussi parfois recours à des pièges non sélectifs qui peuvent toucher les fossas. C’est pour toutes ces raisons que le Parc zoologique de Paris est engagé activement dans leur conservation, en participant au suivi des populations à Madagascar et à leur préservation au sein du programme d’élevage européen. © MNHN – G. Balemboy #MNHN #ZooDeParis #photo #video #naissance #news #fossa"
 
Many unnoticed births since the beginning of 2025 : Coppery Titi, Mhorr Gazelle, Humboldt Penguins, Ocellated Lizards and even Flower Chafers.
Parc zoologique de Paris on Instagram: " ➡️ Swipe pour découvrir des photos inédites des plus belles naissances de l'année au @zoodeparis ! Plus de 300 ! C’est le nombre de naissance recensées depuis début 2025 (et l’année n’est pas encore terminée ). Parmi elles, plus de 70 vertébrés (otocyons, titi roux, gazelle de Mhorr, manchots de Humboldt, ou encore fossas) mais aussi certains animaux moins connus comme les lézards ocellés ou les cétoines, de petits insectes au corps semblable à un bijou, menacés localement en France. Aussi adorables soient-ils, tous ces nouveau-nés mettent surtout en avant le rôle majeur et l’engagement constant du Parc zoologique de Paris et du Muséum national d’Histoire naturelle pour la préservation de la biodiversité à travers leur investissement dans les programmes de conservation européens (EEP). De nombreuses autres naissances sont également attendues dans les semaines à venir, alors, pour ne rien louper des dernières actualités du zoo, n’oubliez pas de nous suivre sur nos réseaux © MNHN – E. Baril (1 et 2), MNHN – G. Balemboy (3, 5, 7, 8 et 9) et MNHN – M. Descombes (4 et 6) #MNHN #ZooDeParis #photo #naissance #news #zoo #fossa #otocyon #gazelle #manchot #baby"
 
Birth of (1.0) South American sea lion (Otaria flavescens).
Parc zoologique de Paris on Instagram: "✨ Une adorable otarie à crinière est née au Parc zoologique de Paris ! Le 24 juillet dernier, une otarie à crinière mâle a vu le jour au @zoodeparis Une naissance attendue avec impatience puisqu’elle marque une nouvelle réussite pour le programme de reproduction européen (EEP) de cette espèce emblématique de la Patagonie Aujourd’hui âgé d’un mois et déjà visible du public, ce jeune mâle est le troisième petit de la femelle Nora, après Naya (2020) et Azog (2023), et la quatrième naissance d’otarie depuis la réouverture du parc. ⚖️ À sa naissance, il ne pesait que 14 kg. Seulement un mois plus tard, il en pèse désormais 22, ce qui est encore bien loin des 300 kg qu’il pourrait atteindre à l’âge adulte ! La gestation, qui a duré près d’un an, s’est déroulée sans encombre grâce à un suivi régulier et des échographies réalisées lors des entraînements médicaux. Fait plutôt étonnant : si la gestation est si longue, c’est parce que chez les otaries à crinière, l’œuf n'est pas implanté dans la muqueuse et flotte dans l'utérus pendant trois à quatre mois, avant de se fixer et débuter son développement. C’est ce que l’on appelle une implantation différée. Pour venir faire connaissance, direction le bassin de maternité, près de l’entrée de la biozone Patagonie où il restera encore un peu avant de rejoindre le grand bassin et ses dix congénères. © MNHN – G. Balemboy #MNHN #ZooDeParis #photo #naissance #news #otarie"
 
Arrival of (1.0) 4 years old crowned sifaka (Propithecus coronatus) from Besançon (France).
Parc zoologique de Paris on Instagram: " Le Parc zoologique de Paris accueille un nouveau lémurien ! Arrivé il y a un mois, ce jeune propithèque couronné (Propithecus coronatus) âgé de presque quatre ans nous vient tout droit du Parc zoologique du Muséum de Besançon. Prénommé Aïko, ce mâle a rejoint le @zoodeparis dans le cadre du programme d’élevage européen (EEP) de cette espèce endémique de Madagascar. Aujourd’hui, ce lémurien méconnu est en effet en danger critique d’extinction selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). La destruction de son habitat par les feux, l’agriculture, les pâturages et l’urbanisation est la principale cause de son déclin. ☝️ Le saviez-vous ? À la fin des années 80, le gouvernement malgache décide de confier au Parc zoologique de Paris des propithèques couronnés pour en développer l'élevage conservatoire, faisant de notre zoo le premier à en élever ! Malheureusement, il ne reste désormais plus que quelques milliers de propithèques couronnés sauvages et seulement une quinzaine d’individus répartis dans cinq établissements européens, dont trois que vous pouvez venir rencontrer au Parc zoologique de Paris. @celinerenac #news #MNHN #lémurien #animal #zoo #zoodeparis #propithèquecouronné"
 
The Geoffroy's Marmosets can now be seen on an outdoor island.
Parc zoologique de Paris on Instagram: " Les ouistitis sont de sortie ! Depuis la semaine dernière, les ouistitis de Geoffroy (Callithrix geoffroyi) sont visibles sur l’île qui borde l’entrée de notre Grande Serre tropicale. L’occasion parfaite pour venir rencontrer le groupe, composé de Sooretama (♂️), Alavaro (♂️), Vinha (♀️) et Java (♀️). Ces petits ouistitis au visage blanc et aux longues touffes de poils sombres sont omnivores : ils se nourrissent principalement d’insectes, de fruits et de gomme naturelle, qu’ils récupèrent en perçant les troncs d’arbres, les branches et les lianes. Ils sont aussi connus pour suivre les cohortes de « fourmis légionnaires » pour capturer facilement les petits insectes qui s’enfuient face à leur arrivée Le saviez-vous ? Pendant des décennies, cette espèce endémique des forêts de l’Est du Brésil a été désignée comme une sous-espèce du ouistiti commun (Callithrix jacchus). Il faudra attendre 1988 et les travaux du primatologue américain Russell Alan Mittermeier pour que ce ouistiti soit enfin considéré comme une espèce à part entière. © MNHN – G. Balemboy #MNHN #ZooDeParis #ouistiti #animal #singe #monkey #marmoset"
 
Gab_1 said:
A giraffe was born on September 12.
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It's a female.
It is the birth n°160 since the opening of the zoo in 1934.
Parc zoologique de Paris on Instagram: " Naissance emblématique au Parc zoologique de Paris ! Vendredi 12 septembre, une adorable femelle girafon du Kordofan a vu le jour au @zoodeparis : une première depuis la naissance du petit Odja en 2019 ! Âgée de seulement quelques jours, elle a fait l’objet d’un premier contrôle de santé complet par les équipes animalières du Parc : elle pesait alors 44 kg pour 1,65 m et malgré son « petit gabarit », elle est aujourd'hui en pleine forme ! Elle a été observée en train de téter longuement quelques heures après sa naissance et a déjà rejoint le groupe de onze girafes, sous l’œil attentif de sa mère expérimentée (Goumie). Cette naissance de girafe (la 160ᵉ depuis la création du Parc en 1934) est une véritable victoire pour le programme d’élevage européen (EEP) de l'animal : la girafe du Kordofan, sous-espèce de la girafe du Nord (Giraffa camelopardalis) est inscrite en danger critique d’extinction sur la liste rouge mondiale de l’UICN. En cause, son aire de répartition qui contient de nombreuses régions d’Afrique touchées par des conflits, rendant sa conservation sur le terrain complexe. C’est pourquoi il est primordial de maintenir une population viable et génétiquement diversifiée dans les parcs européens. Et pour contribuer à nos côtés à la sauvegarde des girafes de Kordofan, vous pouvez parrainer le groupe du @zoodeparis via le site soutenir.mnhn.fr N’oubliez pas, chaque don compte ! © MNHN – G. Balemboy #MNHN #ZooDeParis #photo #girafe #afrique #naissance #news"
 
Vincennes breeds Morelet's tree frog (Agalychnis moreletii) behind the scene.
Parc zoologique de Paris on Instagram: " Vous ne pouvez pas la voir... mais elle est bien là ! Aujourd’hui, on vous emmène dans les coulisses du zoo à la découverte de la rainette aux yeux noirs (Agalychnis moreletii), une espèce élevée à l'abri des regards. ️ Comme son nom l’indique, cette petite grenouille originaire des forêts de moyenne altitude du Mexique et de l'Amérique centrale se reconnaît à ses yeux d’un noir sombre et uniforme. Classée en danger critique d’extinction jusqu'en 2016, l'espèce fait aujourd’hui partie d’un programme d’élevage européen (EEP) coordonné par Olivier Marquis, curateur des reptiles, amphibiens et arthropodes au @zoodeparis. La chytridiomycose (maladie infectieuse fatale pour les amphibiens), la destruction d’habitat et le changement climatique constituent autant de menaces qui pourraient, dans le futur, réduire les populations de cette rainette. L’objectif de l’EEP est donc de constituer une population de référence pour contribuer au maintien de la diversité génétique de la rainette aux yeux noirs. De récentes études génétiques, morphologiques et acoustiques (encore non publiées), menées par le biologiste anglais Richard Preziosi et ses collaborateurs, montreraient que l'espèce serait en réalité subdivisée en trois espèces ou sous-espèces aux distributions très morcelées. De quoi redéfinir son statut taxonomique, accentuant les menaces qui pèsent sur elle et justifiant le maintien de l’EEP. C'est pourquoi le Parc zoologique de Paris est fier de jouer un rôle discret mais essentiel dans la préservation de cette petite rainette, grâce, notamment, à notre super équipe de soigneurs animaliers spécialisés © MNHN – M. Toullec #MNHN #ZooDeParis #rainette #grenouille #conservation #animal #amphibien #frog"
 
Unfortunately, rare tanagers and manakins from the Mata Atlantica were seized at Paris airport and sent to Vincennes Zoo. Around 25 of them have survived and should be exhibited at some point in a dedicated aviary in the greenhouse of the zoo. It includes Tangara cyanocephala, Tangara desmaresti, Stilpnia peruviana and Chiroxiphia caudata.

Earlier seizure include blue dacnis, Chiroxiphia pareola, Stilpnia cayana or Chlorophonia occipitalis making Vincennes probably the European hotspot for south American thraupidae.

« Épuisés et déshydratés », des oiseaux du Brésil saisis à la douane trouvent refuge au parc zoologique de Paris
 
Haliaeetus said:
Birth of 3 Bat-eared Foxes
Parc zoologique de Paris on Instagram: " Naissance d'otocyons au @zoodeparis ! Après trois semaines dans leur terrier, trois otocyons, de petits mammifères carnivores de la famille des Canidés, viennent de pointer le bout de leur nez ! Même sans les voir, nos équipes avaient déjà détecté des signes indiquant la présence de petits au sein du terrier : les parents sortaient de moins en moins, le mâle passait du temps dans le terrier et la femelle défendait l’entrée face à la curiosité des suricates, Faché et Django, avec qui les otocyons partagent leur espace. ♀️♂️ Les otocyons ont la particularité de s’accoupler jusqu’à dix fois par jour, et ce pendant plusieurs jours ! Ces temps d’accouplement sont ensuite suivis par des phases de jeux entre le mâle et la femelle. Leurs rôles parentaux sont partagés : dans la nature, le mâle s’occupe des petits tandis que la femelle se concentre sur la recherche de nourriture pour avoir le lait le plus nutritif possible C'est la seconde fois que cette espèce se reproduit, après trois naissances en 2024, une très bonne nouvelle pour ces animaux qui se reproduisent rarement en parcs zoologiques (seulement sept naissances en 2025 pour le moment, en comptant ces trois otocyons). ➡️ Rendez-vous dès maintenant au Parc zoologique de Paris pour observer leurs premières sorties. © MNHN – G. Balemboy #MNHN #ZooDeParis #photo #zoo #news #naissance #otocyon"
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The 3 Fox kits are male.
Parc zoologique de Paris on Instagram: "C’est bientôt l’heure de la sieste... Saviez-vous que les otocyons, de petits mammifères carnivores proches des renards, possédaient jusqu’à 50 dents ? C’est plus que n'importe quel carnivore (et presque vingt dents de plus que nous) ! Une dentition parfaitement adaptée à leur régime alimentaire à base d’insectes à cuticule dure En anglais, l’otocyon est surnommé « bat-eared fox », soit littéralement « renard à oreilles de chauve-souris », et on comprend pourquoi : ses longues oreilles proéminentes lui servent à la fois à réguler sa température et à détecter ses proies qui se cachent sous terre. Depuis mai, le groupe d’otocyons du @zoodeparis s’est d’ailleurs agrandi : Kili (♂️) et Emma (♀️) ont donné naissance à trois mâles, Sony, Kimpa et Kita, qui partagent leur espace avec Faché et Django, les deux suricates du zoo. © MNHN #MNHN #ZooDeParis #video #otocyon #dent #animal"
 
Birth of (3.0) vicuñas.
Parc zoologique de Paris on Instagram: " Nouvelles naissances au @zoodeparis ! Nous sommes heureux d’annoncer la naissance de trois adorables mâles vigognes, qui ont rejoint le groupe du Parc zoologique de Paris le 27 octobre, 4 novembre et 24 novembre dernier Tous trois se portent à merveille et sont déjà visibles dans la biozone Patagonie. Est-ce un lama ? Un alpaga ? Pas exactement ! La vigogne est l’un de leurs proches parents et vit sur les hauts plateaux arides de la cordillère des Andes, où elle a pendant longtemps été chassée pour sa toison, entraînant des diminutions drastiques des populations. Grâce à un effort international et la création d’aires protégées, l’espèce est désormais passées du statut « vulnérable » à celui de « préoccupation mineure » dans la liste rouge mondiale de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) Malheureusement, la vigogne souffre encore de la compétition avec les troupeaux domestiques, la pollution des cours d'eau et la perte de son habitat (causée par les exploitations minières). C'est pourquoi elle fait aujourd’hui partie d’un programme d’élevage européen (EEP) auquel participe le Parc zoologique de Paris © MNHN – G. Balemboy #MNHN #ZooDeParis #photo #naissance #news #vigogne"
 
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